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Dressage Malveillance Formation
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Vigipirate et grogne de la Police: Et si on armait la sécurité privée ?

21/09/2015 21:44
Les CRS, et même l'armée sont à "bout": trop sollicités, des gardes statiques fatigante,...

Peut-on avoir une copie de son dossier de refus auprès du CNAPS ? La CADA dit OUI !

21/09/2015 21:43
C'est quoi la "CADA" ?     La Commission d'accès aux documents administratifs a...

Un agent de sécurité se prend un pavé en pleine tête par ses agresseurs

21/09/2015 21:42
C'est un véritable guet-apens dans lequel est tombé samedi vers 18 heures, un homme âgé de 46...

Convoyeur de fond: bientôt autorisé au transport d'arme et drogue (Scellé judiciaire)

21/09/2015 21:41
Dans le cadre des discussions en séance du 11 mai 2015 sur le projet de loi "Croissance activité...

Renouvellement de la carte professionnelle: Formation continue (bientôt) obligatoire !!

19/09/2015 19:38
Crée par un amendement N° 335 rect. - Dans le cadre du projet de loi Rebsamen (Dialogue sociale...
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Quand une société de sécurité incendie se fait condamner pour une non reprise d'agents de sûreté

01/08/2023 09:04
Monsieur X a été employé en tant qu'agent de sécurité par la Société Loup Noir Sécurité. Cette dernière a été mise en liquidation judiciaire en mars 2009. Le site où Monsieur X travaillait, l'Hôtel La Créole Beach, a été repris par Monsieur Fred Z qui exploite une entreprise de surveillance et de gardiennage. Monsieur X a été informé de son licenciement économique. Il a ensuite saisi le Conseil de Prud'hommes pour contester son licenciement et demander sa réintégration. Sa demande a été rejetée en première instance, mais il a fait appel.
 
L'issue de l'appel :
La Cour a infirmé la décision de première instance. Elle a jugé que l'accord collectif du 5 mars 2002, qui fait partie de la convention collective du secteur de la sécurité, s'applique à l'entreprise de Monsieur Z. L'accord stipule que si une entreprise de sécurité est remplacée par une autre sur un site donné, l'entreprise entrante doit reprendre les employés de l'entreprise sortante qui ont plus de 6 mois d'ancienneté sur le site.
 
La Cour a conclu que Monsieur Z n'a pas respecté ces dispositions, car il n'a pas fait connaître son entreprise à l'entreprise sortante et n'a pas engagé le processus de transfert du contrat de travail de Monsieur X. En conséquence, Monsieur Z a été condamné à verser à Monsieur X 8000 euros de dommages et intérêts pour non-respect de l'accord collectif du 5 mars 2002, ainsi que 1500 euros d'indemnité au titre de l'article 700 du code de procédure civile.