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Dressage Malveillance Formation
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Actualités

comment faire si je dois garder mon enfant à la maison dès lundi

24/03/2020 17:06
Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées et universités sont fermées dès ce lundi...

Coups de feu au Mirail à Toulouse: des agents de sécurité blessés

24/03/2020 17:05
Au moins quatre agents de sécurité ont été blessés aux jambes mercredi matin par des coups de feu...

Dans quelles conditions un salarié peut-il exercer son droit de retrait ?

24/03/2020 17:03
En vertu des articles L. 4131-1 et suivants du code du travail, un travailleur peut se retirer...

GES: Il confirme l'impossibilité de prise de température par des agents de sécurité privée (COVID-19)

24/03/2020 16:59
En lien avec mes articles du 6 et 9 mars vous indiquant l’impossibilité légal de conditionner...

Et si le temps de contrôle de sac des salariés devenait du temps de travail pour eux

19/02/2020 07:50
Il existe beaucoup d'endroits en France où l'on impose un "contrôle des sacs" aux salariés. Soit...
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Les agents de sécurité étaient ... des migrants !

20/01/2020 08:25
La police aux frontières de Nantes a interpellé mardi le gérant d'une entreprise de gardiennage basée à Niort. Cet homme proposait ses services à des campings de Vendée mais les vigiles qu'il envoyait étaient des migrants.
 
Les hommes de la police aux frontières (PAF) de Nantes ont frappé un grand coup contre l'emploi de travailleurs clandestins mardi, ils ont interpellé le gérant d'une société de gardiennage de Niort (Deux-Sèvres) et sa complice qui lui servait de prête-nom et qui vivait à Bergerac en Dordogne. Les enquêteurs ont saisi une voiture de luxe de marque allemande et plusieurs dizaines de milliers d'euros.
 
Une vingtaine de campings concernés
 
Les policiers ont commencé à s'intéresser à cette société de sécurité au cours du mois d'août, ils ont constaté qu'elle proposait ses prestations essentiellement en Vendée auprès d'une vingtaine de campings. Lors d'un contrôle dans un établissement des Sables d'Olonne, les enquêteurs ont découvert que le gardien de nuit était Guinéen et qu'il travaillait sous une fausse identité. Les nombreuses auditions menées par la suite ont montré que l'entreprise niortaise recrutait essentiellement une main d'oeuvre clandestine originaire de Côte d'Ivoire et de Guinée.