Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

06.63.08.35.98

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

La carte professionnelle des formateurs

08/05/2024 11:57
Avec la promulgation du décret n° 2024-311 du 4 avril 2024, la réglementation encadrant la...

Le Décret n° 2024-311

07/05/2024 09:55
Décret n° 2024-311 du 4 avril 2024 relatif à la formation aux activités privées de...

Grille des salaires en sécurité privée pour 2024

02/01/2024 15:06
–I:  Agent d’exploitation, employé, administratif, technicien COEF 120 - Agent de...

Armement des agents de sécurité privée

02/01/2024 15:00
Législation et responsabilités La législation française, notamment l'Article L4121-1 du Code du...

CNAPS et casier judiciaire pour les étrangers

02/01/2024 14:59
1. La règle de base :   D'après les articles R. 612-22 et R. 612-15 du code de la...
1 | 2 | 3 | 4 | 5 >>

Enregistrez-vous

Connexion

Inscription à un événement

Remplissez le formulaire ci-dessous :

Les agents de sécurité étaient ... des migrants !

20/01/2020 08:25
La police aux frontières de Nantes a interpellé mardi le gérant d'une entreprise de gardiennage basée à Niort. Cet homme proposait ses services à des campings de Vendée mais les vigiles qu'il envoyait étaient des migrants.
 
Les hommes de la police aux frontières (PAF) de Nantes ont frappé un grand coup contre l'emploi de travailleurs clandestins mardi, ils ont interpellé le gérant d'une société de gardiennage de Niort (Deux-Sèvres) et sa complice qui lui servait de prête-nom et qui vivait à Bergerac en Dordogne. Les enquêteurs ont saisi une voiture de luxe de marque allemande et plusieurs dizaines de milliers d'euros.
 
Une vingtaine de campings concernés
 
Les policiers ont commencé à s'intéresser à cette société de sécurité au cours du mois d'août, ils ont constaté qu'elle proposait ses prestations essentiellement en Vendée auprès d'une vingtaine de campings. Lors d'un contrôle dans un établissement des Sables d'Olonne, les enquêteurs ont découvert que le gardien de nuit était Guinéen et qu'il travaillait sous une fausse identité. Les nombreuses auditions menées par la suite ont montré que l'entreprise niortaise recrutait essentiellement une main d'oeuvre clandestine originaire de Côte d'Ivoire et de Guinée.