Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

09 82 58 76 43

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

détention d'arme au titre de la FFTir

11/08/2020 09:55
MISE AU POINT SUR L'ARMEMENT Vous avez une détention d'une ou plusieurs armes au titre de la...

travailler en télésurveillance avec une carte pro surveillance humaine

11/08/2020 09:52
Si vous avez une carte professionnelle (délivrée avant 2018, ou juste début 2018) avec comme...

le cadre de la sûreté aéroportuaire...

11/08/2020 09:27
Ils existent "officiellement" dans le cadre de la sûreté aéroportuaire. En application du point...

l'académie nationale de Médecine recommande pour les agents de sécurité

06/04/2020 16:00
Jusqu’à présent, l’OMS s’en tient encore à sa position initiale, en craignant que l’usage...

Mise à disposition temporaire des agents de sécurité

06/04/2020 15:58
Dans le cadre de cette « mise à disposition » temporaire, le salarié conserve : - son contrat...
<< 15 | 16 | 17 | 18 | 19 >>

Inscription à un événement

Remplissez le formulaire ci-dessous :

Les agents de sécurité étaient ... des migrants !

20/01/2020 08:25
La police aux frontières de Nantes a interpellé mardi le gérant d'une entreprise de gardiennage basée à Niort. Cet homme proposait ses services à des campings de Vendée mais les vigiles qu'il envoyait étaient des migrants.
 
Les hommes de la police aux frontières (PAF) de Nantes ont frappé un grand coup contre l'emploi de travailleurs clandestins mardi, ils ont interpellé le gérant d'une société de gardiennage de Niort (Deux-Sèvres) et sa complice qui lui servait de prête-nom et qui vivait à Bergerac en Dordogne. Les enquêteurs ont saisi une voiture de luxe de marque allemande et plusieurs dizaines de milliers d'euros.
 
Une vingtaine de campings concernés
 
Les policiers ont commencé à s'intéresser à cette société de sécurité au cours du mois d'août, ils ont constaté qu'elle proposait ses prestations essentiellement en Vendée auprès d'une vingtaine de campings. Lors d'un contrôle dans un établissement des Sables d'Olonne, les enquêteurs ont découvert que le gardien de nuit était Guinéen et qu'il travaillait sous une fausse identité. Les nombreuses auditions menées par la suite ont montré que l'entreprise niortaise recrutait essentiellement une main d'oeuvre clandestine originaire de Côte d'Ivoire et de Guinée.