Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

09 82 58 76 43

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

Formation continue

07/06/2013 16:17
Public concerné : Demandeurs d’emploi : possibilité de rémunération selon réglementation...

Formation Secourisme

07/06/2013 16:09
PUBLIC CONCERNE : Tout citoyen de plus de 10 ans qui souhaite devenir un citoyen acteur de...

Agent Malveillance

07/06/2013 15:53
Le métier Vous assurez la sécurité des biens et des personnes dans des espaces privés, sur une zone...

Formation pour l'obtention de l'attestation d'aptitude à la détention d'un chien de catégorie 1 ou 2

28/05/2013 22:31
Formation pour l'obtention de l'attestation d'aptitude à la détention d'un chien de catégorie 1...

U.N.A.P.S

24/05/2013 12:07
Cliquer sur l'image pour acceder au site de l' UNAPS
<< 73 | 74 | 75 | 76 | 77 >>

Inscription à un événement

Remplissez le formulaire ci-dessous :

Les agents de sécurité étaient ... des migrants !

20/01/2020 08:25
La police aux frontières de Nantes a interpellé mardi le gérant d'une entreprise de gardiennage basée à Niort. Cet homme proposait ses services à des campings de Vendée mais les vigiles qu'il envoyait étaient des migrants.
 
Les hommes de la police aux frontières (PAF) de Nantes ont frappé un grand coup contre l'emploi de travailleurs clandestins mardi, ils ont interpellé le gérant d'une société de gardiennage de Niort (Deux-Sèvres) et sa complice qui lui servait de prête-nom et qui vivait à Bergerac en Dordogne. Les enquêteurs ont saisi une voiture de luxe de marque allemande et plusieurs dizaines de milliers d'euros.
 
Une vingtaine de campings concernés
 
Les policiers ont commencé à s'intéresser à cette société de sécurité au cours du mois d'août, ils ont constaté qu'elle proposait ses prestations essentiellement en Vendée auprès d'une vingtaine de campings. Lors d'un contrôle dans un établissement des Sables d'Olonne, les enquêteurs ont découvert que le gardien de nuit était Guinéen et qu'il travaillait sous une fausse identité. Les nombreuses auditions menées par la suite ont montré que l'entreprise niortaise recrutait essentiellement une main d'oeuvre clandestine originaire de Côte d'Ivoire et de Guinée.