Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

09 82 58 76 43

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

Nouvelle réglementation des armes

25/07/2013 20:20
L'article L. 2331-1 du code de la défenseest ainsi rédigé :  « Art. L. 2331-1.-I. ― Les...

LA CNIL

23/07/2013 17:45
La CNIL relève des dysfonctionnements persistants dans les fichiers d’antécédents...

Les vigiles des HLM de Paris bientôt armés

16/07/2013 12:45
SECURITE - La préfecture de police de Paris vient de donner son aval pour que les agents du...

Fichier National d'Identification des Carnivores Domestiques

09/06/2013 22:46
  Lien vers le site de l'ICAD --->>>> ICI

Mise en place d'un livret de suivi de formation

08/06/2013 15:19
Afin de pouvoir vérifier la progression du ou des binomes hommes/chiens j'ai effectué la mise en...
<< 72 | 73 | 74 | 75 | 76 >>

Inscription à un événement

Remplissez le formulaire ci-dessous :

Les agents de sécurité étaient ... des migrants !

20/01/2020 08:25
La police aux frontières de Nantes a interpellé mardi le gérant d'une entreprise de gardiennage basée à Niort. Cet homme proposait ses services à des campings de Vendée mais les vigiles qu'il envoyait étaient des migrants.
 
Les hommes de la police aux frontières (PAF) de Nantes ont frappé un grand coup contre l'emploi de travailleurs clandestins mardi, ils ont interpellé le gérant d'une société de gardiennage de Niort (Deux-Sèvres) et sa complice qui lui servait de prête-nom et qui vivait à Bergerac en Dordogne. Les enquêteurs ont saisi une voiture de luxe de marque allemande et plusieurs dizaines de milliers d'euros.
 
Une vingtaine de campings concernés
 
Les policiers ont commencé à s'intéresser à cette société de sécurité au cours du mois d'août, ils ont constaté qu'elle proposait ses prestations essentiellement en Vendée auprès d'une vingtaine de campings. Lors d'un contrôle dans un établissement des Sables d'Olonne, les enquêteurs ont découvert que le gardien de nuit était Guinéen et qu'il travaillait sous une fausse identité. Les nombreuses auditions menées par la suite ont montré que l'entreprise niortaise recrutait essentiellement une main d'oeuvre clandestine originaire de Côte d'Ivoire et de Guinée.