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Dressage Malveillance Formation
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Actualités

La société de sécurité privée employait des clandestins africains

19/09/2015 19:31
FAITS DIVERS - Celle-ci abusait de la fragilité de ses employés...   Une société de...

Un vol et un outrage vieux de 6 ans ? Sans condamnation d'un tribunal ? Pas de carte pro !

19/09/2015 19:29
Cour administrative d'appel de Bordeaux, 3ème chambre (formation à 3), 09/06/2015, 13BX03085,...

Saint-Louis : impressionnante bagarre entre des jeunes et des vigiles

19/09/2015 18:55
Les images sont en train de faire le buzz sur internet. Postée sur un célèbre réseau social par...

La formation en sécurité intègre officiellement le CSI !

19/09/2015 18:54
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Signalisation complémentaire des véhicules d'intervention urgente et des véhicules à progression lente

19/09/2015 18:53
Cet arrêté autorise les véhicules d'intérêt général des services concernés à utiliser une...
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Les agents de sécurité étaient ... des migrants !

20/01/2020 08:25
La police aux frontières de Nantes a interpellé mardi le gérant d'une entreprise de gardiennage basée à Niort. Cet homme proposait ses services à des campings de Vendée mais les vigiles qu'il envoyait étaient des migrants.
 
Les hommes de la police aux frontières (PAF) de Nantes ont frappé un grand coup contre l'emploi de travailleurs clandestins mardi, ils ont interpellé le gérant d'une société de gardiennage de Niort (Deux-Sèvres) et sa complice qui lui servait de prête-nom et qui vivait à Bergerac en Dordogne. Les enquêteurs ont saisi une voiture de luxe de marque allemande et plusieurs dizaines de milliers d'euros.
 
Une vingtaine de campings concernés
 
Les policiers ont commencé à s'intéresser à cette société de sécurité au cours du mois d'août, ils ont constaté qu'elle proposait ses prestations essentiellement en Vendée auprès d'une vingtaine de campings. Lors d'un contrôle dans un établissement des Sables d'Olonne, les enquêteurs ont découvert que le gardien de nuit était Guinéen et qu'il travaillait sous une fausse identité. Les nombreuses auditions menées par la suite ont montré que l'entreprise niortaise recrutait essentiellement une main d'oeuvre clandestine originaire de Côte d'Ivoire et de Guinée.