Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

06.63.08.35.98

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

AFD et agents de sécurité en magasin : ce que vous devez savoir

29/09/2023 21:02
Les étapes cruciales que les agents de sécurité doivent suivre pour permettre une AFD (applicable...

le chien d'un agent de sécurité cynophile mord un Policier Municipal

29/09/2023 20:59
L'incident de Colombes Le 30 août 2023, un incident inhabituel est survenu dans la commune de...

Comment Rendre l'Insigne 'SÉCURITÉ PRIVÉE' Élégant

29/09/2023 20:55
Le récent arrêté du 18 juillet 2023, relatif aux tenues des agents privés de sécurité, suscite...

L'ex-chef de la sûreté condamné

29/09/2023 14:33
L'ex-chef de la sûreté et un entrepreneur reconnu coupable par le Tribunal correctionnel de...

Un Agent de Sécurité de "L'Opéra" Attaqué au Couteau

29/09/2023 14:31
La nuit semblait dans la ville paisible à Chambéry, jusqu'à ce que les événements prennent une...
<< 1 | 2 | 3 | 4 | 5 >>

Enregistrez-vous

Connexion

Inscription à un événement

Remplissez le formulaire ci-dessous :

Un procureur supprime menottes, matraques télescopiques et gazeuses d'agents de sécurité au sein d'un hôpital

12/10/2014 11:22

Les agents de sécurité de l'hôpital Purpan, n'ont plus les moyens d'assurer la sécurité dans les services notamment aux urgences. Ils demandent des effectifs supplémentaires et des moyens de protection.

Ce n'est malheureusement pas nouveau. Dès la fin de semaine, l'hôpital devient le réceptacle de toute la misère humaine et surtout de la violence urbaine. Aux urgences de Purpan, on ne compte plus les débordements nocturnes, les invectives, les tensions, voire les rixes que les agents de sécurité ont de plus en plus de mal à contenir. «Nous sommes régulièrement confrontés à des gens surexcités parfois armés de couteau, de machettes, contre lesquels nous sommes démunis, témoigne un vigile, qui veut rester anonyme. Nous voulons des moyens pour nous défendre». Lui et ses collègues, tous employés de la fonction publique, ne s'expliquent pas pourquoi il y a un peu plus de deux ans, le procureur de la République de Toulouse a décidé de supprimer leur équipement : menottes, matraques télescopiques et gazeuses. «ça fait 30 ans qu'on fonctionnait avec ce matériel, s'insurge-t-il et la violence s'est accrue. On ne peut plus faire face».