Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

06.63.08.35.98

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

Formation préalable pour l'assermentation des agents du CNAPS

19/03/2023 11:58
Comme vous le savez, les cahiers des charges pour la formation initiale et continue des acteurs...

Bienvenue à la formation à distance dans la sécurité privée ! (MAC APS et carte pro JO 2024) 1 Février 2023

01/02/2023 10:41
Le 21ème siècle est entrée dans le 2.0 pour la formation professionnelle en sécurité privée, et...

Patriotisme et valeurs républicaines obligatoire en sécurité privée au 1er mai 2023 (Arrêté du 5 janvier 2023)

19/03/2023 10:37
C'est l'arrêté du 5 janvier 2023 qui a modifié les dispositions relatives à la formation...

Revalorisation des salaires en sécurité privée : 7,5% d'augmentation

19/03/2023 10:32
Avec une volonté affirmée de tenir compte de la future revalorisation automatique de celui-ci au...

Abandon de poste, cela sera bientôt considéré comme une démission

31/10/2022 10:27
Dans le cadre du projet de loi portant mesures d’urgence relatives au fonctionnement du marché du...
<< 3 | 4 | 5 | 6 | 7 >>

Enregistrez-vous

Connexion

Inscription à un événement

Remplissez le formulaire ci-dessous :

Temps de travail dans les entreprises de sécurité

22/07/2016 10:42
L’organisation du temps de travail des salariés dans les entreprises de sécurité n’est pas une mince affaire et certains employeurs sous la contrainte de leurs clients sont parfois obligés d’outrepasser les dispositions de la convention collective.
C’est une affaire de ce type qu’ a eu à trancher la Cour d’Appel de Lyon dans sa décision du 11 mai 2015 ( Affaire SFB/LYON SECURITE PRIVEE).
 
Le salarié reprochait à son employeur de ne pas lui donner le planning des temps de travail dans un délai inférieur au 7 jours de travail et de le faire travailler plus de 48 heures par semaine, ce qui le privait de ses repos hebdomadaires.
La Cour d’Appel a constaté la réalité des faits reprochés mais a jugé que le défaut de respect des règles du temps de travail était limité et qu’en conséquence seule une indemnité de 1000 euros devait être versée au salarié.