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Actualités

La SNCF recrute immédiatement un Agent de cyno-détection en Sûreté Ferroviaire

19/02/2020 07:49
Sur le terrain en permanence vous contribuez à la lutte contre toutes les formes d’infractions...

Agent de sécurité armé: Premier centre de formation avec une autorisation

19/02/2020 07:47
Le titre privé, "Intervenant en Surveillance Armée" de l'Institut Français de Sécurité, a obtenu...

Défibrillateur obligatoire pour les bâtiments recevant du public

19/02/2020 07:34
Conformément au Décret n° 2018-1186 du 19 décembre 2018 relatif aux défibrillateurs automatisés...

Bienvenue à l'activité de surveillance armée d'un site sensible (Arme d'épaule de catégorie A)

19/02/2020 07:32
des agents de sécurité privée peuvent être équipés d'armes à feu d'épaule semi-automatiques...

SSIAP et hôpitaux: le député M. Louis Aliot monte au créneau

19/02/2020 07:31
M. Louis Aliot attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur les...
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Quand une société de sécurité incendie se fait condamner pour une non reprise d'agents de sûreté

01/08/2023 09:04
Monsieur X a été employé en tant qu'agent de sécurité par la Société Loup Noir Sécurité. Cette dernière a été mise en liquidation judiciaire en mars 2009. Le site où Monsieur X travaillait, l'Hôtel La Créole Beach, a été repris par Monsieur Fred Z qui exploite une entreprise de surveillance et de gardiennage. Monsieur X a été informé de son licenciement économique. Il a ensuite saisi le Conseil de Prud'hommes pour contester son licenciement et demander sa réintégration. Sa demande a été rejetée en première instance, mais il a fait appel.
 
L'issue de l'appel :
La Cour a infirmé la décision de première instance. Elle a jugé que l'accord collectif du 5 mars 2002, qui fait partie de la convention collective du secteur de la sécurité, s'applique à l'entreprise de Monsieur Z. L'accord stipule que si une entreprise de sécurité est remplacée par une autre sur un site donné, l'entreprise entrante doit reprendre les employés de l'entreprise sortante qui ont plus de 6 mois d'ancienneté sur le site.
 
La Cour a conclu que Monsieur Z n'a pas respecté ces dispositions, car il n'a pas fait connaître son entreprise à l'entreprise sortante et n'a pas engagé le processus de transfert du contrat de travail de Monsieur X. En conséquence, Monsieur Z a été condamné à verser à Monsieur X 8000 euros de dommages et intérêts pour non-respect de l'accord collectif du 5 mars 2002, ainsi que 1500 euros d'indemnité au titre de l'article 700 du code de procédure civile.