Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

06.63.08.35.98

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

Agents de sécurité frappés à cause du port du masque

11/08/2020 10:06
Un article de presse relate qu'un agent de sécurité a été frappé au crâne pour avoir exigé le...

Prolongation de la validité des cartes pro ou autorisations

11/08/2020 10:05
Votre carte a expiré entre le 12 mars 2020 et le 23 juin 2020 Sa validité est prorogée jusqu’au...

Tous les examens en sécurité privée pendant le confinement annulé

11/08/2020 10:03
Une décision du CNAPS:   Les diplômes mentionnant des dates d'examen et de jury...

Le CNAPS condamné à 26 588 euros pour un refus de carte professionnelle

11/08/2020 10:01
M. A... C... s'est vu délivrer, le 6 août 2009, une carte professionnelle l'autorisant à exercer...

Mac aps à distance

11/08/2020 09:59
Par arrêté du 15 juin 2020 portant adaptation des conditions de formation continue aux activités...
<< 14 | 15 | 16 | 17 | 18 >>

Inscription à un événement

Remplissez le formulaire ci-dessous :

Quand une société de sécurité incendie se fait condamner pour une non reprise d'agents de sûreté

01/08/2023 09:04
Monsieur X a été employé en tant qu'agent de sécurité par la Société Loup Noir Sécurité. Cette dernière a été mise en liquidation judiciaire en mars 2009. Le site où Monsieur X travaillait, l'Hôtel La Créole Beach, a été repris par Monsieur Fred Z qui exploite une entreprise de surveillance et de gardiennage. Monsieur X a été informé de son licenciement économique. Il a ensuite saisi le Conseil de Prud'hommes pour contester son licenciement et demander sa réintégration. Sa demande a été rejetée en première instance, mais il a fait appel.
 
L'issue de l'appel :
La Cour a infirmé la décision de première instance. Elle a jugé que l'accord collectif du 5 mars 2002, qui fait partie de la convention collective du secteur de la sécurité, s'applique à l'entreprise de Monsieur Z. L'accord stipule que si une entreprise de sécurité est remplacée par une autre sur un site donné, l'entreprise entrante doit reprendre les employés de l'entreprise sortante qui ont plus de 6 mois d'ancienneté sur le site.
 
La Cour a conclu que Monsieur Z n'a pas respecté ces dispositions, car il n'a pas fait connaître son entreprise à l'entreprise sortante et n'a pas engagé le processus de transfert du contrat de travail de Monsieur X. En conséquence, Monsieur Z a été condamné à verser à Monsieur X 8000 euros de dommages et intérêts pour non-respect de l'accord collectif du 5 mars 2002, ainsi que 1500 euros d'indemnité au titre de l'article 700 du code de procédure civile.