Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

09 82 58 76 43

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

Eléments de reprise de personnel : imposons un tableau-cadre.

31/08/2013 12:14
Lors de la rédaction d’une offre commerciale, mis à part la partie définissant la mise en place des...

Guideurs de convois exceptionnels : Pourquoi ne pas l'intégrer comme une activitée de sécurité privée ?

31/08/2013 12:11
Récemment, un député a attiré l'attention du ministre sur la situation des accompagnateurs et des...

intervention d'un agent de sécurité

25/08/2013 11:22
Un homme arrêté avec l’aide d’un vigile pour avoir tabassé une fillette Un homme a été placé...

pour les agents

15/08/2013 06:48
Agent de sécurité: en cas de contrôle, le CNAPS vous demandera quoi ? Les principaux points de...

document société

15/08/2013 06:46
- Avez-vous bien un "Mémento", un "Registre des contrôles internes" ou encore un "cahier de...
<< 69 | 70 | 71 | 72 | 73 >>

Inscription à un événement

Remplissez le formulaire ci-dessous :

Quand une société de sécurité incendie se fait condamner pour une non reprise d'agents de sûreté

01/08/2023 09:04
Monsieur X a été employé en tant qu'agent de sécurité par la Société Loup Noir Sécurité. Cette dernière a été mise en liquidation judiciaire en mars 2009. Le site où Monsieur X travaillait, l'Hôtel La Créole Beach, a été repris par Monsieur Fred Z qui exploite une entreprise de surveillance et de gardiennage. Monsieur X a été informé de son licenciement économique. Il a ensuite saisi le Conseil de Prud'hommes pour contester son licenciement et demander sa réintégration. Sa demande a été rejetée en première instance, mais il a fait appel.
 
L'issue de l'appel :
La Cour a infirmé la décision de première instance. Elle a jugé que l'accord collectif du 5 mars 2002, qui fait partie de la convention collective du secteur de la sécurité, s'applique à l'entreprise de Monsieur Z. L'accord stipule que si une entreprise de sécurité est remplacée par une autre sur un site donné, l'entreprise entrante doit reprendre les employés de l'entreprise sortante qui ont plus de 6 mois d'ancienneté sur le site.
 
La Cour a conclu que Monsieur Z n'a pas respecté ces dispositions, car il n'a pas fait connaître son entreprise à l'entreprise sortante et n'a pas engagé le processus de transfert du contrat de travail de Monsieur X. En conséquence, Monsieur Z a été condamné à verser à Monsieur X 8000 euros de dommages et intérêts pour non-respect de l'accord collectif du 5 mars 2002, ainsi que 1500 euros d'indemnité au titre de l'article 700 du code de procédure civile.