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Dressage Malveillance Formation
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Renouvellement des cartes pro: Obligation de formation, c'est officielle !

19/09/2015 18:52
En sont article 40 de la lOI n° 2015-994 du 17 août 2015 relative au dialogue social et à...

Faire obstacle aux contrôles du CNAPS est dorénavant pénal !

19/09/2015 18:51
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Marseille: Un agent de sécurité tué lors d'une fusillade

19/09/2015 18:45
Quand l'état imposera le port d'un gilet par-balle aux portiers et autres physionomistes dans les...

Blois (41) : les meilleures unités de maîtres et chiens ont concouru ce week-end

19/09/2015 18:44
Tout le week-end s'est déroulé le Challenge inter-unités canin 2015 à Blois (41). Une compétition...

la sécurité des portiers et agents de sécurité en discothèque

19/09/2015 18:40
La DCS annonce par communiqué que "Le Délégué, accompagné de son adjointe, Nadine JOLY, en charge...
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Quand une société de sécurité incendie se fait condamner pour une non reprise d'agents de sûreté

01/08/2023 09:04
Monsieur X a été employé en tant qu'agent de sécurité par la Société Loup Noir Sécurité. Cette dernière a été mise en liquidation judiciaire en mars 2009. Le site où Monsieur X travaillait, l'Hôtel La Créole Beach, a été repris par Monsieur Fred Z qui exploite une entreprise de surveillance et de gardiennage. Monsieur X a été informé de son licenciement économique. Il a ensuite saisi le Conseil de Prud'hommes pour contester son licenciement et demander sa réintégration. Sa demande a été rejetée en première instance, mais il a fait appel.
 
L'issue de l'appel :
La Cour a infirmé la décision de première instance. Elle a jugé que l'accord collectif du 5 mars 2002, qui fait partie de la convention collective du secteur de la sécurité, s'applique à l'entreprise de Monsieur Z. L'accord stipule que si une entreprise de sécurité est remplacée par une autre sur un site donné, l'entreprise entrante doit reprendre les employés de l'entreprise sortante qui ont plus de 6 mois d'ancienneté sur le site.
 
La Cour a conclu que Monsieur Z n'a pas respecté ces dispositions, car il n'a pas fait connaître son entreprise à l'entreprise sortante et n'a pas engagé le processus de transfert du contrat de travail de Monsieur X. En conséquence, Monsieur Z a été condamné à verser à Monsieur X 8000 euros de dommages et intérêts pour non-respect de l'accord collectif du 5 mars 2002, ainsi que 1500 euros d'indemnité au titre de l'article 700 du code de procédure civile.