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Dressage Malveillance Formation
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Actualités

JURY d'examen pour un diplôme en sécurité privée: l'état serre la vis !

03/08/2016 22:10
L'organisme de formation tient, sur place, à disposition de l'organisme certificateur la liste...

Annulation d'une décision du CNAPS .. car l'instructeur n'était pas habilité pour consulter le TAJ !

03/08/2016 22:09
M. A... D...a demandé au tribunal administratif de Nice d'annuler la décision du 26 juin 2014 par...

Moyens matériels minimum pour un centre de formation en sécurité privée

03/08/2016 22:07
POUR L'ACTIVITÉ DE SURVEILLANCE HUMAINE OU SURVEILLANCE PAR DES SYSTÈMES ÉLECTRONIQUES DE...

Centre de formation en sécurité privée: Comment avoir l'autorisation "provisoire" du CNAPS ?

03/08/2016 22:05
Vous le savez, tout les centres de formations devront avoir AU 1er JUILLET 2017 un agrément du...

PROCÉDURE DE CERTIFICATION pour les centres de formations en sécurité privée

03/08/2016 22:01
1. Définition et durée des étapes du processus.   PROCÉDURE DE CERTIFICATION pour les...
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Quand une société de sécurité incendie se fait condamner pour une non reprise d'agents de sûreté

01/08/2023 09:04
Monsieur X a été employé en tant qu'agent de sécurité par la Société Loup Noir Sécurité. Cette dernière a été mise en liquidation judiciaire en mars 2009. Le site où Monsieur X travaillait, l'Hôtel La Créole Beach, a été repris par Monsieur Fred Z qui exploite une entreprise de surveillance et de gardiennage. Monsieur X a été informé de son licenciement économique. Il a ensuite saisi le Conseil de Prud'hommes pour contester son licenciement et demander sa réintégration. Sa demande a été rejetée en première instance, mais il a fait appel.
 
L'issue de l'appel :
La Cour a infirmé la décision de première instance. Elle a jugé que l'accord collectif du 5 mars 2002, qui fait partie de la convention collective du secteur de la sécurité, s'applique à l'entreprise de Monsieur Z. L'accord stipule que si une entreprise de sécurité est remplacée par une autre sur un site donné, l'entreprise entrante doit reprendre les employés de l'entreprise sortante qui ont plus de 6 mois d'ancienneté sur le site.
 
La Cour a conclu que Monsieur Z n'a pas respecté ces dispositions, car il n'a pas fait connaître son entreprise à l'entreprise sortante et n'a pas engagé le processus de transfert du contrat de travail de Monsieur X. En conséquence, Monsieur Z a été condamné à verser à Monsieur X 8000 euros de dommages et intérêts pour non-respect de l'accord collectif du 5 mars 2002, ainsi que 1500 euros d'indemnité au titre de l'article 700 du code de procédure civile.