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Obligation de sécurité privée dans certains lieux

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Le CNAPS, très sévère avec les entreprises de sécurité privée et (maintenant) les centres de...

Modifications sur l'armement des agents des services internes de sécurité de la SNCF et de la RATP

11/12/2016 18:12
Décret n° 2016-1616 du 28 novembre 2016 ):   Article 2 du décret du 24 novembre...

Privatisation de la gestion des radars: La Belgique opte pour la sécurité privée

11/12/2016 18:10
En France, la privatisation de la gestion des radars mobiles devrait être effective au 1er...

Service de sécurité incendie SSIAP et Sûreté :

11/12/2016 18:04
Oui dans un type U de moins de 1500 personnes, le service de sécurité incendie SSIAP  peut...

Vous avez eu votre 1ère carte pro avant mai 2016 ? Vous êtes peut-être concerné ! (Equivalence lié à l'expérience)

11/11/2016 12:13
Vous êtes agents de sécurité ou ex-agent de sécurité (vous êtes en poste, au chômage ou ayant...
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Quand une société de sécurité incendie se fait condamner pour une non reprise d'agents de sûreté

01/08/2023 09:04
Monsieur X a été employé en tant qu'agent de sécurité par la Société Loup Noir Sécurité. Cette dernière a été mise en liquidation judiciaire en mars 2009. Le site où Monsieur X travaillait, l'Hôtel La Créole Beach, a été repris par Monsieur Fred Z qui exploite une entreprise de surveillance et de gardiennage. Monsieur X a été informé de son licenciement économique. Il a ensuite saisi le Conseil de Prud'hommes pour contester son licenciement et demander sa réintégration. Sa demande a été rejetée en première instance, mais il a fait appel.
 
L'issue de l'appel :
La Cour a infirmé la décision de première instance. Elle a jugé que l'accord collectif du 5 mars 2002, qui fait partie de la convention collective du secteur de la sécurité, s'applique à l'entreprise de Monsieur Z. L'accord stipule que si une entreprise de sécurité est remplacée par une autre sur un site donné, l'entreprise entrante doit reprendre les employés de l'entreprise sortante qui ont plus de 6 mois d'ancienneté sur le site.
 
La Cour a conclu que Monsieur Z n'a pas respecté ces dispositions, car il n'a pas fait connaître son entreprise à l'entreprise sortante et n'a pas engagé le processus de transfert du contrat de travail de Monsieur X. En conséquence, Monsieur Z a été condamné à verser à Monsieur X 8000 euros de dommages et intérêts pour non-respect de l'accord collectif du 5 mars 2002, ainsi que 1500 euros d'indemnité au titre de l'article 700 du code de procédure civile.