Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

09 82 58 76 43

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

Agent de sécurité armé sur les navires à passagers

07/09/2017 07:15
Les navires battant pavillon français peuvent, à la demande et pour le compte de l'armateur,...

Tests de dépistage de drogues à disposition des employeurs, sans le médecin du travail

22/08/2017 07:30
Les entreprises peuvent détecter l'usage de substances psychoactives de leurs salariés sans le...

MILITAIRES: reconnaissance pour intégrer la sécurité privée ou Diriger

22/08/2017 06:48
Du changement dans la reconnaissance de l'aptitude professionnelle pour diriger une société en...

Les futures formations en secourisme des agents de protection rapprochée

22/08/2017 06:44
- effectuer, seul et en binôme, une réanimation complète avec massages cardiaque et...

Pompiers pro ou volontaires: Des modules en moins pour devenir agent de sécurité ou garde du corps

22/08/2017 06:41
Les sapeurs-pompiers professionnels et volontaires ayant servi durant 2 années sur une période de...
<< 33 | 34 | 35 | 36 | 37 >>

Inscription à un événement

Remplissez le formulaire ci-dessous :

Quand une société de sécurité incendie se fait condamner pour une non reprise d'agents de sûreté

01/08/2023 09:04
Monsieur X a été employé en tant qu'agent de sécurité par la Société Loup Noir Sécurité. Cette dernière a été mise en liquidation judiciaire en mars 2009. Le site où Monsieur X travaillait, l'Hôtel La Créole Beach, a été repris par Monsieur Fred Z qui exploite une entreprise de surveillance et de gardiennage. Monsieur X a été informé de son licenciement économique. Il a ensuite saisi le Conseil de Prud'hommes pour contester son licenciement et demander sa réintégration. Sa demande a été rejetée en première instance, mais il a fait appel.
 
L'issue de l'appel :
La Cour a infirmé la décision de première instance. Elle a jugé que l'accord collectif du 5 mars 2002, qui fait partie de la convention collective du secteur de la sécurité, s'applique à l'entreprise de Monsieur Z. L'accord stipule que si une entreprise de sécurité est remplacée par une autre sur un site donné, l'entreprise entrante doit reprendre les employés de l'entreprise sortante qui ont plus de 6 mois d'ancienneté sur le site.
 
La Cour a conclu que Monsieur Z n'a pas respecté ces dispositions, car il n'a pas fait connaître son entreprise à l'entreprise sortante et n'a pas engagé le processus de transfert du contrat de travail de Monsieur X. En conséquence, Monsieur Z a été condamné à verser à Monsieur X 8000 euros de dommages et intérêts pour non-respect de l'accord collectif du 5 mars 2002, ainsi que 1500 euros d'indemnité au titre de l'article 700 du code de procédure civile.