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gestion et la conservation des scellés judiciaires par la sécurité privée

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Dans le cadre des discussions sur la proposition de loi nº 3452 relative à la sécurité globale,...

activité cynotechnique de pré-détection d’explosifs

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Des équipes cynotechniques privées interviennent d’ores et déjà dans le secteur des transports...

Imposer un armement des agents de sécurité assurant une surveillance lié au terrorisme !

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Permettre au CNAPS de mettre des amendes aux agents de sécurité privée

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C'est un amendement du gouvernement ! Dans le cadre des discussions sur la proposition de loi nº...

assurer la surveillance des détenus hospitalisés, armé

04/11/2020 10:14
Dans le cadre des discussions sur la proposition de loi nº 3452 relative à la sécurité globale,...
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Les agents de sécurité peuvent assister la police ou la gendarmerie

03/07/2017 22:40
Il n’existe pas d’obstacle à ce que l’arrêté du préfet puisse autoriser les agents de sécurité privée à participer à ces opérations , dès lors que leur mission consiste seulement à assister les fonctionnaires de la police nationale ou les militaires de la gendarmerie pour procéder à des palpations de sécurité et à l’inspection visuelle de bagages, [et] qu’ils sont placés sous l’autorité d’un officier de police judiciaire
Néanmoins le conseil d'état impose , pour ceux qui refusent de se soumettre à ces contrôles par des agents de sécurité privée dans ce périmètre de protection, de se faire reconduire à la sortie ou refuser l'accès uniquement par les forces de l'ordre.
 
Le conseil d'état a par-contre dit "non" sur la possibilité de "visiter les véhicules" par des agents de sécurité privée 
(même sous l'autorité d'un OPJ).
 
SUR LES DISPOSITIONS CONCERNANT LES PÉRIMÈTRES DE PROTECTION
Le Conseil d’État considère qu’il n’existe pas d’obstacle à ce que l’arrêté du préfet puisse autoriser les agents de sécurité privée exerçant l’activité mentionnée au 1° de l’article L. 611-1 du code de sécurité intérieure à participer à ces opérations, dès lors que leur mission consiste seulement à assister les fonctionnaires de la police nationale ou les militaires de la gendarmerie pour procéder à des palpations de sécurité et à l’inspection visuelle de bagages, qu’ils sont placés sous l’autorité d’un officier de police judiciaire et qu’ils ne peuvent participer à la visite des véhicules.
 
En cas de refus des intéressés de se soumettre à ces vérifications, l’autorité administrative leur refuse d’accéder ou de circuler à l’intérieur du périmètre et les fait reconduire à l’extérieur de celui-ci.
 
Le Conseil d’État propose également de compléter le projet pour préciser que la reconduite à l’extérieur du périmètre ne peut être assurée que par des fonctionnaires de la police nationale ou des militaires de la gendarmerie.
 
Dans ces conditions, le Conseil d’État estime que le projet [cliquez-ici pour voir ce projet] donne un cadre légal adapté à des mesures de police administrative nécessaires pour prévenir les risques particulièrement importants auxquels sont exposés certains évènements se déroulant sur la voie publique et qu’il opère une conciliation qui n’est pas déséquilibrée entre la prévention des atteintes à l’ordre public et le respect des droits et libertés.