Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

06.63.08.35.98

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

Droit de retrait et sécurité privée

22/06/2017 09:22
Un arrêt de la cour d'appel de Basse-Terre, du 12 décembre 2016, nous donne des pistes sur le...

faire reconnaitre son diplôme en sécurité [Europe]

22/06/2017 09:20
Le décret Décret n° 2017-696 du 2 mai 2017  étend la possibilité d'accomplir par voie...

Vous proposez des services que vous ne pouvez pas assurer

22/06/2017 09:18
Une société de sécurité proposait diverses prestations proposées sur son site internet...

Protection maritime privée

22/06/2017 09:16
Des modifications pour les agents de protection de navire embarqué ! Concernant la possibilité...

PLAN D’ÉVACUATION / PLAN DE CONFINEMENT

02/06/2017 19:07
Evacuation   Vous pourriez avoir besoin de faire évacuer votre manifestation en raison...
<< 35 | 36 | 37 | 38 | 39 >>

Enregistrez-vous

Connexion

Inscription à un événement

Remplissez le formulaire ci-dessous :

Les agents de sécurité peuvent assister la police ou la gendarmerie

03/07/2017 22:40
Il n’existe pas d’obstacle à ce que l’arrêté du préfet puisse autoriser les agents de sécurité privée à participer à ces opérations , dès lors que leur mission consiste seulement à assister les fonctionnaires de la police nationale ou les militaires de la gendarmerie pour procéder à des palpations de sécurité et à l’inspection visuelle de bagages, [et] qu’ils sont placés sous l’autorité d’un officier de police judiciaire
Néanmoins le conseil d'état impose , pour ceux qui refusent de se soumettre à ces contrôles par des agents de sécurité privée dans ce périmètre de protection, de se faire reconduire à la sortie ou refuser l'accès uniquement par les forces de l'ordre.
 
Le conseil d'état a par-contre dit "non" sur la possibilité de "visiter les véhicules" par des agents de sécurité privée 
(même sous l'autorité d'un OPJ).
 
SUR LES DISPOSITIONS CONCERNANT LES PÉRIMÈTRES DE PROTECTION
Le Conseil d’État considère qu’il n’existe pas d’obstacle à ce que l’arrêté du préfet puisse autoriser les agents de sécurité privée exerçant l’activité mentionnée au 1° de l’article L. 611-1 du code de sécurité intérieure à participer à ces opérations, dès lors que leur mission consiste seulement à assister les fonctionnaires de la police nationale ou les militaires de la gendarmerie pour procéder à des palpations de sécurité et à l’inspection visuelle de bagages, qu’ils sont placés sous l’autorité d’un officier de police judiciaire et qu’ils ne peuvent participer à la visite des véhicules.
 
En cas de refus des intéressés de se soumettre à ces vérifications, l’autorité administrative leur refuse d’accéder ou de circuler à l’intérieur du périmètre et les fait reconduire à l’extérieur de celui-ci.
 
Le Conseil d’État propose également de compléter le projet pour préciser que la reconduite à l’extérieur du périmètre ne peut être assurée que par des fonctionnaires de la police nationale ou des militaires de la gendarmerie.
 
Dans ces conditions, le Conseil d’État estime que le projet [cliquez-ici pour voir ce projet] donne un cadre légal adapté à des mesures de police administrative nécessaires pour prévenir les risques particulièrement importants auxquels sont exposés certains évènements se déroulant sur la voie publique et qu’il opère une conciliation qui n’est pas déséquilibrée entre la prévention des atteintes à l’ordre public et le respect des droits et libertés.