Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

06.63.08.35.98

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

Patriotisme et valeurs républicaines obligatoire en sécurité privée au 1er mai 2023 (Arrêté du 5 janvier 2023)

19/03/2023 10:37
C'est l'arrêté du 5 janvier 2023 qui a modifié les dispositions relatives à la formation...

Revalorisation des salaires en sécurité privée : 7,5% d'augmentation

19/03/2023 10:32
Avec une volonté affirmée de tenir compte de la future revalorisation automatique de celui-ci au...

Abandon de poste, cela sera bientôt considéré comme une démission

31/10/2022 10:27
Dans le cadre du projet de loi portant mesures d’urgence relatives au fonctionnement du marché du...

carte-professionnelle-surveillance-de-grands-evenements-deroule-pedagogique

15/06/2022 07:37
 une carte professionnelle temporaire autorisant, dans le cadre de manifestations sportives,...

Sanctions par le directeur du CNAPS

15/06/2022 07:36
Conformément à l'article  L. 634-10 du CSI (applicable au 31 décembre 2022), le directeur du...
<< 3 | 4 | 5 | 6 | 7 >>

Enregistrez-vous

Connexion

Imposer un armement des agents de sécurité assurant une surveillance lié au terrorisme !

04/11/2020 10:17
Dans le cadre des discussions sur la proposition de loi nº 3452 relative à la sécurité globale, un député LREM a émis un amendement (Amendement n°CL49 - Déposé le vendredi 30 octobre 2020) permettant la possibilité aux agents de sécurité privée la faculté d’exercer sur la voie publique des missions liés aux actes de terrorisme , mais serais conditionner au fait que l’agent soit habilité à porter une arme de catégorie A, B ou C.
 
L’article L613-1 du code de la sécurité intérieure ouvre, à titre exceptionnel, la possibilité aux agents de sécurité privée d’exercer sur la voie publique des missions de surveillance contre les vols, dégradations et effractions visant les biens dont ils ont la garde. L’objet de l’article 14 du présent texte est d’étendre cette possibilité aux actes de terrorisme.
 
Ainsi se justifie ce député LREM, q'une telle disposition exposerait de manière décisive ces agents en cas d’actes de terrorisme, qui ne sont pas nécessairement formés et équipés pour agir et se défendre dans ces situations extrêmes.
 
L’objet du présent amendement est donc de réécrire cet article pour conditionner cette extension au fait que l’agent soit habilité à porter une arme de catégorie A, B ou C.