Rechercher


Contact

Dressage Malveillance Formation
27, Rue du Tapage
59269 ARTRES

06.63.08.35.98

E-mail: d.m.formation@gmail.com

Actualités

Les 15 propositions du GES dans le cadre de la concertation sur le livre blanc

02/11/2019 17:31
Le Groupement des entreprises de sécurité (GES) entend porter, dans la concertation relative au...

L’État veut que la sécurité privée devienne un partenaire

02/11/2019 17:30
Le Groupement des entreprises de sécurité (GES) a accueilli, ce mardi matin le Secrétaire d’État...

Le compagnon d'une ministre épinglé

02/11/2019 17:29
Au total, sur une durée de six ans, la société de Jean-François Vigneau aura empoché la bagatelle...

Réservistes de la garde nationale

02/11/2019 17:26
Le décret n° 2017-606 du 21 avril 2017 relatif aux conditions d’exercice des activités privées de...

Formation Vigipirate pour tous

02/11/2019 15:06
Comment réagir en cas d’attentat terroriste, quels sont les bons gestes, les bons réflexes ? Une...
<< 22 | 23 | 24 | 25 | 26 >>

Inscription à un événement

Remplissez le formulaire ci-dessous :

Imposer un armement des agents de sécurité assurant une surveillance lié au terrorisme !

04/11/2020 10:17
Dans le cadre des discussions sur la proposition de loi nº 3452 relative à la sécurité globale, un député LREM a émis un amendement (Amendement n°CL49 - Déposé le vendredi 30 octobre 2020) permettant la possibilité aux agents de sécurité privée la faculté d’exercer sur la voie publique des missions liés aux actes de terrorisme , mais serais conditionner au fait que l’agent soit habilité à porter une arme de catégorie A, B ou C.
 
L’article L613-1 du code de la sécurité intérieure ouvre, à titre exceptionnel, la possibilité aux agents de sécurité privée d’exercer sur la voie publique des missions de surveillance contre les vols, dégradations et effractions visant les biens dont ils ont la garde. L’objet de l’article 14 du présent texte est d’étendre cette possibilité aux actes de terrorisme.
 
Ainsi se justifie ce député LREM, q'une telle disposition exposerait de manière décisive ces agents en cas d’actes de terrorisme, qui ne sont pas nécessairement formés et équipés pour agir et se défendre dans ces situations extrêmes.
 
L’objet du présent amendement est donc de réécrire cet article pour conditionner cette extension au fait que l’agent soit habilité à porter une arme de catégorie A, B ou C.